Biographie
Jennifer Gold
Actrice, danseuse, elle se produit sur des scènes indépendantes de cabaret et performe dans le milieu de l’art contemporain. Elle tourne dans de nombreux vidéos clips et films expérimentaux avec notamment Gohar Martirosyan (Fresnoy), Chiraz Chouchane et Bertrand Mandico. En 2022, elle rejoint la distribution de Daddy mis en scène par Marion Siéfert créé au Théâtre de L’Odéon en 2023.*
Actress and dancer, she performs on independent cabaret stages and in the contemporary art scene. She appears in numerous music videos and experimental films, notably with Gohar Martirosyan (Fresnoy), Chiraz Chouchane, and Bertrand Mandico. In 2022, she joined the cast of Daddy directed by Marion Siéfert and premiered at the Théâtre de l’Odéon in 2023.
Antoine Briot
Formé à la conception sonore à l’ENSATT de Lyon et aux Beaux-Arts d’Aix-en-Provence, Antoine réalise et compose musiques et dispositifs audiovisuels pour le spectacle vivant. Il crée la vidéo de _jeanne_dark_ et Daddy mis en scène par Marion Siéfert. Avec le Désordre des choses, il réalise la vidéo pour Grès et la musique pour Jeune Mort, Les Corps Incorruptibles et Le Temps des fins. Il compose également pour les vidéo-mapping Irrelevant, Immersive et Emersive qui remporte le Grand Prix SACEM VR en 2020.
Former student at the ENSATT in Lyon and the Beaux-Arts in Aix-en-Provence, Antoine creates and composes music and audiovisual setups for theatre. He created the video for jeanne_dark and Daddy, directed by Marion Siéfert. With the Le Désordre des choses, he created the video for Grès and the music for Jeune Mort, Les Corps Incorruptibles, and Le Temps des fins. He also writes for the video-mappings Irrelevant and Emersive which won the Grand Prix SACEM VR in 2020.
RÉSIDENCE — TOXXIC
Équipée d’un exosquelette numérique, Charlie gagne sa vie en travaillant pour une plate-forme en ligne spécialisée dans la fabrication de fantasmes virtuels. Prêtant son corps à de multiples avatars, elle se confronte à des désirs parfois aussi insondables qu’inavouables.
Hanté par des présences artificielles, ce seul en scène invite les spectateur·rice·s à côtoyer les espaces virtuels dans ce qu’ils racontent de notre intimité et de la manière dont nous nous servons de ces simulations pour soigner, combler ou aliéner nos vies.